La Grèce annonce officiellement l’abandon d’un référendum sur le plan d’aide de l’Union européenne. Cette annonce a été faite par le ministre des finances grec et non par le premier ministre, ce qui fait penser que George Papandréou n’est plus maître à bord.
Depuis lundi, les rebondissements se succèdent. Le premier ministre grec a donc capitulé face aux pressions externes et internes. D’une part, l’opposition au référendum ne cesse de grandir dans la majorité parlementaire et dans une partie du gouvernement. D’autre part, La France et L’Allemagne ainsi que le FMI restaient ferme : le pays doit mettre en œuvre l’ensemble des mesures prise à Bruxelles du plan européen d’aide à la Grèce sous peine de voire l’aide geler. Le FMI précisait ainsi que le versement de la nouvelle tranche d’aide (8 milliards € au total) n’aurait lieu qu’une fois l’ « incertitude levée ».
La question posée lors de cette consultation était aussi un enjeu important : appartenance à la zone euro ou bien acceptation du plan européen ? La première question avait la préférence des partenaires européens.
Le référendum abandonné, il est fort probable que le Premier ministre grec démissionne. Un vote de confiance doit intervenir dans la soirée. La question est désormais de savoir si un gouvernement d’union nationale pourra être mis en place après la démission de Papandréou. Mais, il semble qu’une telle entente entre opposition et majorité soit très difficile à envisager.
Depuis lundi, les rebondissements se succèdent. Le premier ministre grec a donc capitulé face aux pressions externes et internes. D’une part, l’opposition au référendum ne cesse de grandir dans la majorité parlementaire et dans une partie du gouvernement. D’autre part, La France et L’Allemagne ainsi que le FMI restaient ferme : le pays doit mettre en œuvre l’ensemble des mesures prise à Bruxelles du plan européen d’aide à la Grèce sous peine de voire l’aide geler. Le FMI précisait ainsi que le versement de la nouvelle tranche d’aide (8 milliards € au total) n’aurait lieu qu’une fois l’ « incertitude levée ».
La question posée lors de cette consultation était aussi un enjeu important : appartenance à la zone euro ou bien acceptation du plan européen ? La première question avait la préférence des partenaires européens.
Le référendum abandonné, il est fort probable que le Premier ministre grec démissionne. Un vote de confiance doit intervenir dans la soirée. La question est désormais de savoir si un gouvernement d’union nationale pourra être mis en place après la démission de Papandréou. Mais, il semble qu’une telle entente entre opposition et majorité soit très difficile à envisager.