La croissance en Allemagne a atteint 3 % sur l'ensemble de l'année 2011, une performance largement au-dessus de celles de ses partenaires européens (France : 1,7 %, zone euro : 1,5 %).
Le pays a bénéficié d'une demande extérieur soutenue avec des exportations très dynamiques vers l'Europe de l'Est mais aussi les pays émergents d'Asie. La demande interne, et notamment la consommation (grande absente des années de stagnation économique 2002-2006), a aussi été robuste.
Toutefois, la crise de la dette, avec l'entrée en récession des pays périphériques (Italie, Espagne, gros importateurs de produits allemands), le ralentissement notables pour le reste de l'Europe (notamment la France, premier partenaire commercial) et les Etats-Unis et enfin un coup de frein dans les pays émergents a plombé l'industrie sur la fin de l'année. Le PIB de l'Allemagne se contracte au final de 0,2 % au dernier trimestre en variation trimestrielle (France : +0,2 % ; zone euro : -0,3 % ; USA : +0,7 % non annualisé ; Chine : +2 %) après +0,6 % au troisième trimestre. Il s'agit du premier recul du PIB depuis le printemps 2009 (Grande Récession).
Le PIB de l'Allemagne au sur l'ensemble de l'année 2011 a atteint 2 567 milliards d'euros en valeur (France : 1 995 milliards d'euros) et la croissance (en volume) a été de 3 % après +3,7 % en 2010.
A la différence de la France et plus globalement du reste de la zone euro, l'Allemagne a connu une sortie de récession très rapide avec une croissance qui a souvent dépassé les 1 % en variation trimestrielle. L'industrie a pleinement profité de la reprise mondiale et l'économie a aussi pu s'appuyer sur un consommateur qui a fait son retour après plusieurs années de restriction des dépenses (fin de la modération salariale, marché de l'emploi en pleine forme, inflation modérée).
Comme le montre le résultat de fin 2011, l'Allemagne va devoir affronter le ralentissement économique mondial et la récession ou faible croissance en Europe. Le gouvernement table sur une croissance autour de 0,7 % et l'OCDE sur une progression du PIB inférieure a 0,5 %.
Le pays a bénéficié d'une demande extérieur soutenue avec des exportations très dynamiques vers l'Europe de l'Est mais aussi les pays émergents d'Asie. La demande interne, et notamment la consommation (grande absente des années de stagnation économique 2002-2006), a aussi été robuste.
Toutefois, la crise de la dette, avec l'entrée en récession des pays périphériques (Italie, Espagne, gros importateurs de produits allemands), le ralentissement notables pour le reste de l'Europe (notamment la France, premier partenaire commercial) et les Etats-Unis et enfin un coup de frein dans les pays émergents a plombé l'industrie sur la fin de l'année. Le PIB de l'Allemagne se contracte au final de 0,2 % au dernier trimestre en variation trimestrielle (France : +0,2 % ; zone euro : -0,3 % ; USA : +0,7 % non annualisé ; Chine : +2 %) après +0,6 % au troisième trimestre. Il s'agit du premier recul du PIB depuis le printemps 2009 (Grande Récession).
Le PIB de l'Allemagne au sur l'ensemble de l'année 2011 a atteint 2 567 milliards d'euros en valeur (France : 1 995 milliards d'euros) et la croissance (en volume) a été de 3 % après +3,7 % en 2010.
A la différence de la France et plus globalement du reste de la zone euro, l'Allemagne a connu une sortie de récession très rapide avec une croissance qui a souvent dépassé les 1 % en variation trimestrielle. L'industrie a pleinement profité de la reprise mondiale et l'économie a aussi pu s'appuyer sur un consommateur qui a fait son retour après plusieurs années de restriction des dépenses (fin de la modération salariale, marché de l'emploi en pleine forme, inflation modérée).
Comme le montre le résultat de fin 2011, l'Allemagne va devoir affronter le ralentissement économique mondial et la récession ou faible croissance en Europe. Le gouvernement table sur une croissance autour de 0,7 % et l'OCDE sur une progression du PIB inférieure a 0,5 %.