Avant de commencer, il faut souligner le changement de l’indice. Selon l’Insee, le « nouvel indicateur synthétique de « confiance des ménages » […] est calculé suivant une méthode identique à celle utilisée pour traiter les enquêtes auprès des chefs d’entreprises. Cet indicateur est normalisé : sa moyenne est de 100 et son écart-type de 10 sur la période 1987-2010, c’est-à-dire depuis que l’enquête a été mensualisée. Ses variations se révèlent proches de l’ancien. »
La confiance des ménages en France en janvier 2011 recule à nouveau perdant 1,3 points à 84,8 points (-3,3 points en novembre). Comme le montre le graphique ci-dessus, le moral des ménages français reste inférieur à la moyenne sur longue période (100 points) mais aussi proche des plus bas historiques.
Les principales composantes des l’enquête sont toutes en chute, plus particulièrement le jugement porté sur l’évolution future de la situation financière personnelle. On note une remontée du pessimisme (bien justifié d’ailleurs) sur le plan du chômage.
La confiance des ménages en France en janvier 2011 recule à nouveau perdant 1,3 points à 84,8 points (-3,3 points en novembre). Comme le montre le graphique ci-dessus, le moral des ménages français reste inférieur à la moyenne sur longue période (100 points) mais aussi proche des plus bas historiques.
Les principales composantes des l’enquête sont toutes en chute, plus particulièrement le jugement porté sur l’évolution future de la situation financière personnelle. On note une remontée du pessimisme (bien justifié d’ailleurs) sur le plan du chômage.
Enfin, deux éléments importants pour la consommation des ménages en France sont aussi en dégradation. Premièrement, le jugement porté sur l’inflation (cf. graphique ci-contre) montre clairement une montée du stress pour les ménages, avec la hausse des cours des matières premières. Deuxièmement, les intentions d’achats se replient encore.
Même si la corrélation entre confiance et consommation n’est pas parfaite, loin de là, il n’empêche que cet indicateur n’est pas positif à court terme.
Même si la corrélation entre confiance et consommation n’est pas parfaite, loin de là, il n’empêche que cet indicateur n’est pas positif à court terme.