En octobre 2011, l’emploi aux USA a progresse de 80 000 postes, un résultat très faible. L’économie américaine hésite toujours à suivre l’Europe sur la voie de la récession. On compte aux USA 131,52 millions d’emploi salariés (hors secteur agricole). Par rapport à début 2008, les USA ont toujours un déficit de 6,48 millions de postes.
Selon le rapport emploi d’octobre 2011, les Etats-Unis ont donc créé 80 000 emplois au total et 104 000 créations d’emplois dans le secteur privé. Le secteur gouvernemental continue donc de détruire des postes (administrations locales).
Même si le marché du travail évolue positivement, avec 1 256 000 emplois créés depuis janvier dernier, le rythme reste le plus faible observé en phase de croissance depuis 30 ans. Même si le taux de chômage a reculé d’un petit dixième à 9 %, les créations d’emplois restent trop faibles pour entraîner une baisse importante et durable du chômage aux USA.
Autres éléments négatifs pour les revenus salariaux, donc la consommation, le salaire horaire moyen voit sa progression tomber à 1,6 % sur un an pour le secteur privé tandis que les heures travaillées ne progressent que faiblement, à 33,7 heures par semaine. La modération salariale reste bien en place.
Au final un rapport emploi n’est pas très porteur pour la croissance du PIB aux USA. La consommation des ménages va rester contrainte par ses fondamentaux.
Selon le rapport emploi d’octobre 2011, les Etats-Unis ont donc créé 80 000 emplois au total et 104 000 créations d’emplois dans le secteur privé. Le secteur gouvernemental continue donc de détruire des postes (administrations locales).
Même si le marché du travail évolue positivement, avec 1 256 000 emplois créés depuis janvier dernier, le rythme reste le plus faible observé en phase de croissance depuis 30 ans. Même si le taux de chômage a reculé d’un petit dixième à 9 %, les créations d’emplois restent trop faibles pour entraîner une baisse importante et durable du chômage aux USA.
Autres éléments négatifs pour les revenus salariaux, donc la consommation, le salaire horaire moyen voit sa progression tomber à 1,6 % sur un an pour le secteur privé tandis que les heures travaillées ne progressent que faiblement, à 33,7 heures par semaine. La modération salariale reste bien en place.
Au final un rapport emploi n’est pas très porteur pour la croissance du PIB aux USA. La consommation des ménages va rester contrainte par ses fondamentaux.
