Les créations d’emploi en zone euro ont été nulles au T3 2010. L’emploi total est stable, après +0,1 % au T2 et +0 % au T1 2010. Au niveau de l’ensemble de la zone euro, le marché du travail est donc stabilisé mais ne se reprend pas. Une statistique cohérente avec les dernières données pour le taux de chômage en zone euro.
Au T3 2010, on a compté en zone euro 144,5 millions d’emplois, dont de 123,6 millions de salariés. Le nombre d’emplois perdus durant la crise en zone euro reste très important, à 3,7 millions dont 2,9 millions de salariés en moins.
Compte tenu de la reprise, certes lente, de l’emploi en France et en Allemagne, ce résultat sur le T3 2010 est une déception. Les pertes d’emplois toujours en cours en Espagne (-0,7 % sur le trimestre) et en Italie (-0,1 %) sont suffisantes pour compenser les gains en France (+0,2 %) et en Allemagne (+0,3 %).
La divergence entre les grands pays de la zone euro est donc un phénomène très large : croissance du PIB, marché du travail, production industrielle …
Au T3 2010, on a compté en zone euro 144,5 millions d’emplois, dont de 123,6 millions de salariés. Le nombre d’emplois perdus durant la crise en zone euro reste très important, à 3,7 millions dont 2,9 millions de salariés en moins.
Compte tenu de la reprise, certes lente, de l’emploi en France et en Allemagne, ce résultat sur le T3 2010 est une déception. Les pertes d’emplois toujours en cours en Espagne (-0,7 % sur le trimestre) et en Italie (-0,1 %) sont suffisantes pour compenser les gains en France (+0,2 %) et en Allemagne (+0,3 %).
La divergence entre les grands pays de la zone euro est donc un phénomène très large : croissance du PIB, marché du travail, production industrielle …