La Hongrie infléchit sa position et se dit prête à discuter des critiques soulevées par la Commission européenne, notamment sur la réforme de la Banque centrale nationale. Bruxelles a proposé mercredi aux Etats d'entamer une procédure de déficit excessif ainsi que traîner le pays devant la justice européenne pour non conformité de sa nouvelle constitution aux traités constitutifs de l'UE.
Dans un communiqué, le Premier ministre a déclaré que "la Hongrie reste prête à continuer les consultations sur les questions soulevées par la Commission européenne, à négocier et à chercher des solutions".
Comme nous l'avons déjà souligné, le gouvernement hongrois doit faire face à un contexte de marché très difficile avec une dépréciation rapide du forint et un taux 10 ans dépassant désormais 10 %. Dans ce contexte, pour éviter un défaut sur sa dette (publique ou privée), le gouvernement n'a pas d'autre choix que de s'entendre rapidement avec la Commission.
Dans un communiqué, le Premier ministre a déclaré que "la Hongrie reste prête à continuer les consultations sur les questions soulevées par la Commission européenne, à négocier et à chercher des solutions".
Comme nous l'avons déjà souligné, le gouvernement hongrois doit faire face à un contexte de marché très difficile avec une dépréciation rapide du forint et un taux 10 ans dépassant désormais 10 %. Dans ce contexte, pour éviter un défaut sur sa dette (publique ou privée), le gouvernement n'a pas d'autre choix que de s'entendre rapidement avec la Commission.