Les indicateurs économiques avancés de l’OCDE continuent de s’améliorer quasiment partout en décembre 2010, signe que les perspectives pour l’économie mondiale se raffermissent.
La stabilisation est désormais consommée pour les pays développés. En effet, après avoir frôlé la zone de contraction, les indicateurs semblent même repartir à la hausse. Ceci indique donc que la croissance dans les pays développés gagnerait en force à partir du printemps. Le signal est compatible avec le maintien d’une croissance dans ces zones proches de leur potentiel à court terme : entre 2 ½ % et 3 % au USA (variation annualisée) et 1 ½ - 2 % pour la zone euro.
La stabilisation est désormais consommée pour les pays développés. En effet, après avoir frôlé la zone de contraction, les indicateurs semblent même repartir à la hausse. Ceci indique donc que la croissance dans les pays développés gagnerait en force à partir du printemps. Le signal est compatible avec le maintien d’une croissance dans ces zones proches de leur potentiel à court terme : entre 2 ½ % et 3 % au USA (variation annualisée) et 1 ½ - 2 % pour la zone euro.
Pour la croissance économique pour les grands pays émergents, les signaux sont globalement toujours porteurs même si l’Inde inquiète. On note la poursuite du redressement de la Chine, après un passage à vide. A noter des révisions importantes qui donnent une image plus « rose » de la situation au Brésil et moins favorable en Inde.
L’intérêt des indicateurs avancés est de donner la direction prise par la croissance au cours des prochains mois. Pour l’OCDE, l’avance est d’environ 6 mois. Il faut toutefois faire attention car une variation négative n’implique nécessairement pas une récession mais une croissance économique ralentissant sous son potentiel (faible croissance, stagnation ou récession). La récession est compatible avec de fortes variations négatives.
L’intérêt des indicateurs avancés est de donner la direction prise par la croissance au cours des prochains mois. Pour l’OCDE, l’avance est d’environ 6 mois. Il faut toutefois faire attention car une variation négative n’implique nécessairement pas une récession mais une croissance économique ralentissant sous son potentiel (faible croissance, stagnation ou récession). La récession est compatible avec de fortes variations négatives.