Les indices PMI pour l’industrie (ISM aux USA) restent élevés en mars 2011, le contexte restant porteur pour l’industrie mondiale. Toutefois, dans les pays développés la principale enquête de conjoncture montre que l’activité s’annonce moins vigoureuse à court terme.
Pour les pays développés, hormis le cas particulier du Japon lié aux conséquences des catastrophes naturelle et nucléaire, les indices PMI manufacturiers restent largement au-dessus de 50 points (contraction < 50 ; expansion > 50). Toutefois, ils sont en repli en Europe. Aux USA, l’ISM manufacturier est presque stable, à 61,2 points en mars 2011 (61,4 pts précédemment). En zone euro, l’indice perd 1,5 points, à 57,5 points. Le Royaume-Uni a enregistré sa plus forte baisse depuis 2008, perdant en un mois 4,4 points à 57,1 pts sur le mois.
Pour les pays développés, hormis le cas particulier du Japon lié aux conséquences des catastrophes naturelle et nucléaire, les indices PMI manufacturiers restent largement au-dessus de 50 points (contraction < 50 ; expansion > 50). Toutefois, ils sont en repli en Europe. Aux USA, l’ISM manufacturier est presque stable, à 61,2 points en mars 2011 (61,4 pts précédemment). En zone euro, l’indice perd 1,5 points, à 57,5 points. Le Royaume-Uni a enregistré sa plus forte baisse depuis 2008, perdant en un mois 4,4 points à 57,1 pts sur le mois.
Pour les principaux pays émergents, l’indice PMI officiel en Chine en mars 2011 (attention pas de correction des variations saisonnières) progresse légèrement, à 53,4 points, tandis que le PMI de l’Inde restait stable (57,9 pts) et que celui du Brésil baissait légèrement (53,2 pts).
Concernant les principaux indicateurs contenus dans les enquêtes, les indices sur les carnets de commande, notamment à l’export, restent très hauts mais s’essoufflent en Europe. Les intentions d’embauches sont bien orientées. Globalement, les indices PMI continuent de pointer vers une croissance soutenue de l’activité industrielle dans les principales zones économiques mondiales.
Côté l’inflation, les indices « prix à la production » ne montrent pas de signes de fléchissement. Ils sont très hauts partout, illustration des tensions inflationnistes qui traversent l’appareil productif partout dans le monde. La hausse du prix des inputs finira par se retrouver dans les prix à la consommation si elle persiste trop longtemps.
NB : Le PMI manufacturier est un indice très regardé car il donne une très bonne approximation de la croissance du PIB. Un PMI au-dessus de 50 points indique que le secteur croît. Plus le PMI s’écarte de 50 points, plus la croissance est forte. De plus, les PMI comportent des questions sur les origines de la croissance (commandes totales et étrangères), l’emploi, les prix (prix à la production, prix à la vente) et les stocks.
Concernant les principaux indicateurs contenus dans les enquêtes, les indices sur les carnets de commande, notamment à l’export, restent très hauts mais s’essoufflent en Europe. Les intentions d’embauches sont bien orientées. Globalement, les indices PMI continuent de pointer vers une croissance soutenue de l’activité industrielle dans les principales zones économiques mondiales.
Côté l’inflation, les indices « prix à la production » ne montrent pas de signes de fléchissement. Ils sont très hauts partout, illustration des tensions inflationnistes qui traversent l’appareil productif partout dans le monde. La hausse du prix des inputs finira par se retrouver dans les prix à la consommation si elle persiste trop longtemps.
NB : Le PMI manufacturier est un indice très regardé car il donne une très bonne approximation de la croissance du PIB. Un PMI au-dessus de 50 points indique que le secteur croît. Plus le PMI s’écarte de 50 points, plus la croissance est forte. De plus, les PMI comportent des questions sur les origines de la croissance (commandes totales et étrangères), l’emploi, les prix (prix à la production, prix à la vente) et les stocks.