L’ inflation aux USA en février 2011 dépasse 2 % pour la première fois depuis mai dernier, à 2,1 % sur un an (cvs, plus forte hausse depuis avril 2010). L’accélération sur les derniers mois est nette. L’inflation n’était que de 1,1 % sur un an en novembre.
Au niveau de l’inflation sous-jacente, plus regardée par la Fed, elle progresse à nouveau, à +1,1 % sur un an (+1 % en janvier). Ceci marque un regain certain par rapport aux derniers mois, car les prix hors énergie et alimentaire ne progressaient que de 0,6 % en octobre 2010.
La différence entre inflation totale et inflation sous-jacente s’explique principalement par la forte poussée des prix de l’énergie (+11 % sur un an) et, dans une moindre mesure, de l’alimentaire (+2,3 %).
Au niveau de l’inflation sous-jacente, plus regardée par la Fed, elle progresse à nouveau, à +1,1 % sur un an (+1 % en janvier). Ceci marque un regain certain par rapport aux derniers mois, car les prix hors énergie et alimentaire ne progressaient que de 0,6 % en octobre 2010.
La différence entre inflation totale et inflation sous-jacente s’explique principalement par la forte poussée des prix de l’énergie (+11 % sur un an) et, dans une moindre mesure, de l’alimentaire (+2,3 %).
Pour les prix moins liés aux matières premières, on note que si les biens durables restent en territoire négatif (-0,5 % sur un an), en revanche, les hausses dans les services s’accélèrent, notamment dans les services liés au logement.
La croissance se raffermissant en 2011, l’inflation sous-jacente a donc touché son point bas fin 2010 et entame une marche vers le haut. Celle-ci sera très graduelle et la hausse dans les services liés au logement se calmera vite du fait de la nouvelle récession immobilière aux USA.
Cette statistique ne devrait donc pas (encore) changer quoi que ce soit au niveau de la Fed. Pour rappel, le FMOC du 15 février s’est conclut sur un statu quo, à la fois sur le taux directeur et sur le quantitative easing.
La croissance se raffermissant en 2011, l’inflation sous-jacente a donc touché son point bas fin 2010 et entame une marche vers le haut. Celle-ci sera très graduelle et la hausse dans les services liés au logement se calmera vite du fait de la nouvelle récession immobilière aux USA.
Cette statistique ne devrait donc pas (encore) changer quoi que ce soit au niveau de la Fed. Pour rappel, le FMOC du 15 février s’est conclut sur un statu quo, à la fois sur le taux directeur et sur le quantitative easing.