Le cours du Brent est stable depuis hier entre 115 $ et 116 $ du baril. Le seuil de douleur, soit 120 $/b, n’est pas encore enfoncé mais l’impact sur les prix à la pompe est déjà très conséquent. Ainsi, les relevés de l’EIA du lundi 28 février ont révélé que les prix de l’essence ont enregistré la seconde plus forte hausse hebdomadaire depuis 1990, avec 20 cents de plus par gallon sur une semaine. En Europe, même si les données ne sont pas aussi rapides, la hausse est similaire si l’on en croît les divers médias.
Pour plus détails, vous pouvez consulter notre article sur la hausse de la facture pétrolière au niveau mondial et sur l’importance de l’énergie dans l’inflation.
Pour plus détails, vous pouvez consulter notre article sur la hausse de la facture pétrolière au niveau mondial et sur l’importance de l’énergie dans l’inflation.
Pour mieux juger du risque pesant sur la production de pétrole, vous pouvez vous référer au graphique ci-contre qui montre les plus gros producteurs de pétrole (+ de 1 millions de baril/jour) :
Rouge : les pays où la production est stoppée ou très perturbée. Pour l’instant, la Libye uniquement ;Jaune : pays où la tension est viveMauve : pays où la situation paraît dégradée mais sans problèmes sociaux majeurs actuellement.
Rouge : les pays où la production est stoppée ou très perturbée. Pour l’instant, la Libye uniquement ;Jaune : pays où la tension est viveMauve : pays où la situation paraît dégradée mais sans problèmes sociaux majeurs actuellement.