Après avoir abordé le poids des importations de pétrole du Japon (5 % de la demande mondiale), retrouvez ci-contre les poids pour les principaux marchés de matières premières agricoles.
Bien évidemment, il ne peut pas, pour ces catégories, y avoir de perturbations durables. Les Japonais vont retrouver rapidement leur rythme de consommation. Toutefois, l’importance encore très incertaine des perturbations économiques et une relative désorganisation des activités humaines (mouvement de population, fermeture des restaurants et des entreprises) consécutive au séisme, au tsunami et désormais à la crise nucléaire font que la consommation non essentielle sera diminuée à très court terme.
4 marchés sont principalement affectés. En premier lieu, le marché du maïs. Le Japon est le premier importateur mondial de maïs (16 % du commerce mondial) et de porc (18 %). Il est au troisième rang pour le soja (5 %) et au quatrième pour le blé (4 %).
Encore une fois, les ordres de grandeurs sont suffisamment importants pour justifier de suivre de près la situation au Japon. Ce qui va compter est la durée et l’ampleur de la crise nucléaire. Pour l’instant, c’est catastrophique.
Bien évidemment, il ne peut pas, pour ces catégories, y avoir de perturbations durables. Les Japonais vont retrouver rapidement leur rythme de consommation. Toutefois, l’importance encore très incertaine des perturbations économiques et une relative désorganisation des activités humaines (mouvement de population, fermeture des restaurants et des entreprises) consécutive au séisme, au tsunami et désormais à la crise nucléaire font que la consommation non essentielle sera diminuée à très court terme.
4 marchés sont principalement affectés. En premier lieu, le marché du maïs. Le Japon est le premier importateur mondial de maïs (16 % du commerce mondial) et de porc (18 %). Il est au troisième rang pour le soja (5 %) et au quatrième pour le blé (4 %).
Encore une fois, les ordres de grandeurs sont suffisamment importants pour justifier de suivre de près la situation au Japon. Ce qui va compter est la durée et l’ampleur de la crise nucléaire. Pour l’instant, c’est catastrophique.