Le marché obligataire reste peu animé en zone euro. Les volumes sont toujours faibles si l’on en croit les commentaires des principaux acteurs. Sur l’ensemble de la zone, les taux des obligations d’Etat progressent légèrement pour l’Allemagne, la France et l’Autriche tandis que la détente continue pour les taux italiens et espagnols (cf. tableau ci-dessous).
Le taux 10 ans français revient à 3,3 % pour la première fois depuis début décembre et l’écart entre l’OAT et le Bund 10 ans est désormais au-dessus de 142 pb (100 pb = 1 %). Le spread est au plus haut depuis fin novembre. On note aussi une tension sur l’Autriche (spread 10 ans à 144 pb). Rien d’alarmant toutefois, les fluctuations restent faibles.
La décrue continue à petit pas pour les taux italiens, le 10 ans passant sous 6,9 %. Le 10 ans espagnol est aussi en baisse, sous 5,2 %. Il faut noter que pour ces deux pays les taux courts (2 ans surtout) restent élevés.
Globalement, il y a peu de mouvement sur le marché obligataire et les fluctuations ne sont pas très significatives. Dans l’attente des décisions de S&P et Moody’s, les investisseurs ne prennent pas de positions marquées. On peut souligner que cette relative atonie ne profite pas pour autant aux principaux émetteurs, avec des taux qui restent très haut en Italie et un spread qui ne reflue pas pour la France.
Le taux 10 ans français revient à 3,3 % pour la première fois depuis début décembre et l’écart entre l’OAT et le Bund 10 ans est désormais au-dessus de 142 pb (100 pb = 1 %). Le spread est au plus haut depuis fin novembre. On note aussi une tension sur l’Autriche (spread 10 ans à 144 pb). Rien d’alarmant toutefois, les fluctuations restent faibles.
La décrue continue à petit pas pour les taux italiens, le 10 ans passant sous 6,9 %. Le 10 ans espagnol est aussi en baisse, sous 5,2 %. Il faut noter que pour ces deux pays les taux courts (2 ans surtout) restent élevés.
Globalement, il y a peu de mouvement sur le marché obligataire et les fluctuations ne sont pas très significatives. Dans l’attente des décisions de S&P et Moody’s, les investisseurs ne prennent pas de positions marquées. On peut souligner que cette relative atonie ne profite pas pour autant aux principaux émetteurs, avec des taux qui restent très haut en Italie et un spread qui ne reflue pas pour la France.
© www.gecodia.fr Obligatations zone euro 03/01/2012 02/01/2012 Taux des obligations d'Etat 2 ans 5 ans 10 ans 30 ans 2 ans 5 ans 10 ans 30 ans Allemagne 0.15 0.90 1.88 2.52 0.16 0.88 1.85 2.45 France 1.06 2.39 3.30 3.90 1.03 2.35 3.27 3.79 Italie 4.86 5.90 6.86 6.74 4.83 5.99 6.92 6.77 Espagne 3.43 4.10 5.15 6.07 3.47 4.03 5.23 6.03 Belgique 2.63 3.58 4.20 4.46 2.63 3.57 4.19 4.42 Grece 153.56 57.40 46.46 24.91 153.22 57.04 46.45 26.64 Pays Bas 0.49 1.53 2.32 2.61 0.50 1.51 2.29 2.57 Autriche 0.91 2.54 3.32 3.65 0.91 2.37 3.27 3.55 Portugal 15.69 16.31 13.73 10.17 15.67 16.31 13.73 10.17 Irlande 8.76 8.17 8.87 - 8.87 8.32 8.87 - Finlande 0.40 1.70 2.42 - 0.44 1.66 2.38 - Noir : baisse ou stable / rouge : hausse 03/01/2012 Variation (jour) Spread avec le bund Allemand (pb) 2 ans 5 ans 10 ans 30 ans 2 ans 5 ans 10 ans 30 ans France 91 150 143 138 3 3 1 4 Italie 472 500 498 423 5 -10 -8 -9 Espagne 328 321 327 355 -3 6 -10 -3 Belgique 248 269 232 195 1 0 -1 -2 Grece 15 341 5 651 4 458 2 239 35 35 -1 -179 Pays Bas 35 64 44 9 0 1 1 -2 Autriche 77 164 144 114 2 15 3 4 Portugal 1 555 1 541 1 185 765 4 -2 -2 -6 Irlande 862 727 700 - -10 -17 -2 : Finlande 25 80 54 - -3 3 2 : 100 pb = 1 % Vert : resserement du spread Rouge : écartement du spread