L’EUR USD moins sous pression et GBP/USD en revanche…
Les positions spéculatives nettes (log-short) restent vendeuses sur l’EUR mais se replient fortement après le record d’il y a deux semaines. Ceci s’expliquent à la fois par un hausse du nombre de contrat long et une baisse des shorts. Au total, les positions nettes passent de -77 551 contrats (- car plus de short que de long) à -46 341 contrats.
En revanche, sur la livre, les positions sont restées quasiment inchangées, avec -63 987 contrats contre -63 473 contrats il y a deux semaines. La GBP reste donc sous pression et les niveaux de short proches de leur record. Ceci illustre que la fragilité de l’économie britannique (pas de croissance, situation fiscale très dégradée) est bien prise en compte par les marchés. La pression sur la livre est somme toute assez logique.
Pour accéder à l’ensemble des graphiques sur les positions spéculatives depuis 1999 pour les principales monnaies, cliquer ici
A noter que l’EUR est aussi soumis à des soubresauts liés aux diverses déclarations au sujet de la Grèce. Les positions de la semaine dernière n’ont vraisemblablement pas eu le temps de prendre en compte les rebondissements de fin de semaine (déclaration allemande refusant une aide bilatérale vers la Grèce, possibilité d’une intervention du FMI…).
Positions acheteuses dominantes ailleurs
Sur les autres grandes devises, les positions nettes sont globalement acheteuses, sauf pour le franc suisse où les positions nettes sont légèrement vendeuses. On note que les positions nettes acheteuses se sont renforcées sur les dollars australien et canadien ainsi que sur le peso mexicain, où le mouvement est très fort. Sur le Yen, le retour en long net se confirme après le short de décembre et janvier, toutefois, le niveau net s’est replié à 15 197 contrats (26 288 précédemment).
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Les positions spéculatives nettes (log-short) restent vendeuses sur l’EUR mais se replient fortement après le record d’il y a deux semaines. Ceci s’expliquent à la fois par un hausse du nombre de contrat long et une baisse des shorts. Au total, les positions nettes passent de -77 551 contrats (- car plus de short que de long) à -46 341 contrats.
En revanche, sur la livre, les positions sont restées quasiment inchangées, avec -63 987 contrats contre -63 473 contrats il y a deux semaines. La GBP reste donc sous pression et les niveaux de short proches de leur record. Ceci illustre que la fragilité de l’économie britannique (pas de croissance, situation fiscale très dégradée) est bien prise en compte par les marchés. La pression sur la livre est somme toute assez logique.
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A noter que l’EUR est aussi soumis à des soubresauts liés aux diverses déclarations au sujet de la Grèce. Les positions de la semaine dernière n’ont vraisemblablement pas eu le temps de prendre en compte les rebondissements de fin de semaine (déclaration allemande refusant une aide bilatérale vers la Grèce, possibilité d’une intervention du FMI…).
Positions acheteuses dominantes ailleurs
Sur les autres grandes devises, les positions nettes sont globalement acheteuses, sauf pour le franc suisse où les positions nettes sont légèrement vendeuses. On note que les positions nettes acheteuses se sont renforcées sur les dollars australien et canadien ainsi que sur le peso mexicain, où le mouvement est très fort. Sur le Yen, le retour en long net se confirme après le short de décembre et janvier, toutefois, le niveau net s’est replié à 15 197 contrats (26 288 précédemment).
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