Les premières statistiques et enquêtes pour le Japon vont arriver dans les prochaines semaines pour le mois de mars. Elles permettront de mettre en évidence l’inévitable perte d’activité économique consécutive aux graves catastrophes accablant le Japon.
Cette nuit, l’enquête de conjoncture PMI pour l’industrie a illustré l’ampleur de la crise. L’indice tombe à 46,4 points, soit un recul 6,5 points. L’indice est donc repassé en territoire de contraction de l’activité (sous 50 points) et enregistre la plus forte chute jamais observée. Toutefois, il reste très loin des tréfonds de fin 2008 et début 2009. Les principales composantes de l’enquête (nouvelles commandes, commandes à l’export) sont en net recul, sauf pour les intentions d’embauches.
Ce résultat n’est pas surprenant. La contraction paraît même plutôt modérée au vu de la gravité exceptionnelle de la crise. Ce qui importe désormais est le temps que va mettre l’économie japonaise à se reprendre et l’ampleur du rebond lié à la reconstruction et surtout au rééquipement des ménages et des entreprises.
Cette nuit, l’enquête de conjoncture PMI pour l’industrie a illustré l’ampleur de la crise. L’indice tombe à 46,4 points, soit un recul 6,5 points. L’indice est donc repassé en territoire de contraction de l’activité (sous 50 points) et enregistre la plus forte chute jamais observée. Toutefois, il reste très loin des tréfonds de fin 2008 et début 2009. Les principales composantes de l’enquête (nouvelles commandes, commandes à l’export) sont en net recul, sauf pour les intentions d’embauches.
Ce résultat n’est pas surprenant. La contraction paraît même plutôt modérée au vu de la gravité exceptionnelle de la crise. Ce qui importe désormais est le temps que va mettre l’économie japonaise à se reprendre et l’ampleur du rebond lié à la reconstruction et surtout au rééquipement des ménages et des entreprises.
