Les prix des logements anciens en France dans l’ancien progressent encore vigoureusement sur le troisième trimestre 2011. Sur l’ensemble du territoire, les prix pour les appartements et maisons ont progressé de 1,1 % sur le trimestre. De plus, la variation tu T2 2011 a été forment révisée à la hausse à +2,0 %, contre +1 % en première estimation. L’Insee a procédé à un changement de méthodologie, ce qui explique les modifications observées.
Par rapport aux publications précédents, les tendances restent inchangées (forte baisse du printemps 2008 au printemps 2009 puis reprise très vive des hausses de prix à partir de mi-2009) mais les variations à partir de mi-2009 sont un peu plus modérées.
Sur un an, le prix moyen du m² en France est en hausse de +6,6 %. Le pic de fin 2010 passe de +9,6 % à +7,8 % avec la nouvelle estimation.
Les volumes de transactions immobilières dans l’ancien stagnent depuis le printemps, avec environ 205 000 transactions par trimestre (estimation à partir de données CGEDD). Ce niveau est proche de celui observé durant les années 2003 à 2007 mais on est sorti de la phase de forte hausse des transactions observées entre mi-2009 et fin 2010.
Par rapport aux publications précédents, les tendances restent inchangées (forte baisse du printemps 2008 au printemps 2009 puis reprise très vive des hausses de prix à partir de mi-2009) mais les variations à partir de mi-2009 sont un peu plus modérées.
Sur un an, le prix moyen du m² en France est en hausse de +6,6 %. Le pic de fin 2010 passe de +9,6 % à +7,8 % avec la nouvelle estimation.
Les volumes de transactions immobilières dans l’ancien stagnent depuis le printemps, avec environ 205 000 transactions par trimestre (estimation à partir de données CGEDD). Ce niveau est proche de celui observé durant les années 2003 à 2007 mais on est sorti de la phase de forte hausse des transactions observées entre mi-2009 et fin 2010.
Au niveau des marchés, la divergence entre l’évolution des prix des appartements et celle des prix des maisons s’est atténuée. Le m² en appartement ne progressent plus que de 1,2 % sur le T3 2011 (plus faible variation depuis fin 2009) contre plus de 2 % par trimestre sur les mois précédents. Dans le même temps, le prix des maisons reste sur sa lancée, avec une hausse de 1,1 % sur le trimestre (cf. graphique).
A noter que par rapport à la publication du T2 2011, les baisse de prix pour les maisons anciennes au niveau national (-0,1 %) et surtout le recul observé pour les prix en province n’est plus visible.
Pour les appartements, les prix progressent moins vite sur Paris, avec seulement +1,3 % sur le troisième trimestre contre +6,2 % au trimestre précédent. Ceci influe sur l’ensemble de la région parisienne (+1,6 % après +4,8 %). En revanche, en province, la variation est faible (+1 % après +1,2 %). Pour les maisons, la différence est moins marquée +0,9 % en province et +1,7 % en IDF (très peu de maisons à Paris !).
Les révisions sur les trimestres précédents modifient un peu le commentaire. Le marché immobilier, en province, n’a pas connu une phase d’arrêt sur le printemps. Toutefois, la dynamique s’affaiblie partout, notamment sur Paris et sa région.
La dégradation des fondamentaux ne semble pas encore peser sur les prix (même s’il s’agit de données arrêtées en septembre). Toutefois, nous conservons un jugement négatif sur l’évolution du marché à moyen terme. La faible progression des revenus des ménages, une fiscalité plus restrictive, la fin du PTZ dans l’ancien et du dispositif Scellier, un accès au crédit restreint et des taux d’intérêt en hausse ne vont pas permettre de continuer sur la lancée des trimestres précédents. Une baisse, encore incertaine dans son ampleur, devrait s’enclencher sur les prochains mois.
A noter que par rapport à la publication du T2 2011, les baisse de prix pour les maisons anciennes au niveau national (-0,1 %) et surtout le recul observé pour les prix en province n’est plus visible.
Pour les appartements, les prix progressent moins vite sur Paris, avec seulement +1,3 % sur le troisième trimestre contre +6,2 % au trimestre précédent. Ceci influe sur l’ensemble de la région parisienne (+1,6 % après +4,8 %). En revanche, en province, la variation est faible (+1 % après +1,2 %). Pour les maisons, la différence est moins marquée +0,9 % en province et +1,7 % en IDF (très peu de maisons à Paris !).
Les révisions sur les trimestres précédents modifient un peu le commentaire. Le marché immobilier, en province, n’a pas connu une phase d’arrêt sur le printemps. Toutefois, la dynamique s’affaiblie partout, notamment sur Paris et sa région.
La dégradation des fondamentaux ne semble pas encore peser sur les prix (même s’il s’agit de données arrêtées en septembre). Toutefois, nous conservons un jugement négatif sur l’évolution du marché à moyen terme. La faible progression des revenus des ménages, une fiscalité plus restrictive, la fin du PTZ dans l’ancien et du dispositif Scellier, un accès au crédit restreint et des taux d’intérêt en hausse ne vont pas permettre de continuer sur la lancée des trimestres précédents. Une baisse, encore incertaine dans son ampleur, devrait s’enclencher sur les prochains mois.