Les ventes de logements neufs en France au premier trimestre 2011 (programme promoteurs) chutent lourdement : -21 % pour les appartements et -19 % pour les maisons. Au total, les ventes passent de 28 014 logements au T4 2010 à 22 197 logements au T1 2011. Une pleine confirmation des indications données en avril dernier par l’enquête auprès des promoteurs.
Vous cherchez d’autres informations ou une mise à jour plus récente, n'hésitez pas à consulter notre rubrique Immobilier France avec toutes les principales statistiques mises à jour en continu.
Le repli des ventes provoque une légère remontée des stocks, pour la première fois depuis mi-2008, mais le total reste proche de la moyenne des 15 dernières années.
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Le repli des ventes provoque une légère remontée des stocks, pour la première fois depuis mi-2008, mais le total reste proche de la moyenne des 15 dernières années.
Si les ventes se tassent, les prix immobiliers des logements neufs en France continuent de s’envoler (là encore conforme aux indications de l’enquête promoteurs), touchant au T1 2011 3 729 €/m² en moyenne (+1,6 % sur le trimestre, +6,8 % sur un an).
Impacts économiques
Le marché du neuf a bien subit un contrecoup lié à la modification du dispositif Scellier. Il est assez brutal sur les programmes immobiliers mis à la vente. Le recul a ramené en un trimestre le niveau d’activité du marché à celui existant quasiment au pire de la crise de 2008-2009. A court terme, difficile d’anticiper un rebond rapide, compte tenu de la remontée des taux d’intérêt immobiliers, des modifications apportées au Scellier et au PTZ et d’une frilosité plus marquée des banques.
Impacts économiques
Le marché du neuf a bien subit un contrecoup lié à la modification du dispositif Scellier. Il est assez brutal sur les programmes immobiliers mis à la vente. Le recul a ramené en un trimestre le niveau d’activité du marché à celui existant quasiment au pire de la crise de 2008-2009. A court terme, difficile d’anticiper un rebond rapide, compte tenu de la remontée des taux d’intérêt immobiliers, des modifications apportées au Scellier et au PTZ et d’une frilosité plus marquée des banques.