L’enquête de conjoncture pour le mois de mai dans le Nord Pas-de-Calais continue d’envoyer des signaux faiblement positifs. Industrie et services dans la région sont dans un mouvement de reprise de l’activité mais lent et fragile. L’industrie inquiète.
Les principaux commentaires de l’enquête de conjoncture.
Les passages en gras sont rajoutés
« En mai, l’activité industrielle progresse à peine. La poursuite de l’amélioration se fait généralement sur un rythme moins rapide. Les industries de biens de consommation et de biens intermédiaires demeurent les plus actives au cours de la période. L’industrie des biens d’équipement et les industries agro-alimentaires se stabilisent. L’industrie automobile confirme les anticipations de repli formulées ces trois derniers mois.
Le taux d’utilisation des équipements demeure inchangé par rapport au niveau enregistré en avril. Une stagnation de l’activité semble se dessiner.
Le flux d’entrées de commandes se stabilise après le repli du mois dernier. C’est notamment le cas dans les biens intermédiaires et l’industrie automobile. En revanche, dans l’industrie des biens de consommation, le recul est marqué et affecte les plans de charge. La situation des carnets de commandes demeure difficile dans tous les compartiments d’activité. Le lent processus d’amélioration engagé depuis avril 2009 marque un palier. L’opinion des chefs d’entreprise de l’industrie automobile et des biens intermédiaires semble même un peu plus discordante que le mois dernier.
Les stocks de produits finis sont désormais bien adaptés au niveau de l’activité actuelle. La tendance à l’augmentation des cours des matières premières se poursuit et affecte le prix des produits finis : constat qui ne vaut pas pour l’industrie automobile.
Pour les prochains mois, les prévisions piétinent et la tendance semble même très légèrement défavorable pour la première fois depuis plus d’un an. Les perspectives dans l’industrie des biens intermédiaires, notamment, apparaissent beaucoup plus incertaines.
Dans les services marchands, l’activité confirme son amélioration sous l’effet des progrès observés sur le niveau de la demande globale. Alors que bon nombre de secteurs semblent toujours assez actifs, le transport routier tend à se stabiliser tandis que l’hôtellerie et la réparation automobile fléchissent. Les perspectives laissent envisager une poursuite de l’activité à ce niveau. »
Les principaux commentaires de l’enquête de conjoncture.
Les passages en gras sont rajoutés
« En mai, l’activité industrielle progresse à peine. La poursuite de l’amélioration se fait généralement sur un rythme moins rapide. Les industries de biens de consommation et de biens intermédiaires demeurent les plus actives au cours de la période. L’industrie des biens d’équipement et les industries agro-alimentaires se stabilisent. L’industrie automobile confirme les anticipations de repli formulées ces trois derniers mois.
Le taux d’utilisation des équipements demeure inchangé par rapport au niveau enregistré en avril. Une stagnation de l’activité semble se dessiner.
Le flux d’entrées de commandes se stabilise après le repli du mois dernier. C’est notamment le cas dans les biens intermédiaires et l’industrie automobile. En revanche, dans l’industrie des biens de consommation, le recul est marqué et affecte les plans de charge. La situation des carnets de commandes demeure difficile dans tous les compartiments d’activité. Le lent processus d’amélioration engagé depuis avril 2009 marque un palier. L’opinion des chefs d’entreprise de l’industrie automobile et des biens intermédiaires semble même un peu plus discordante que le mois dernier.
Les stocks de produits finis sont désormais bien adaptés au niveau de l’activité actuelle. La tendance à l’augmentation des cours des matières premières se poursuit et affecte le prix des produits finis : constat qui ne vaut pas pour l’industrie automobile.
Pour les prochains mois, les prévisions piétinent et la tendance semble même très légèrement défavorable pour la première fois depuis plus d’un an. Les perspectives dans l’industrie des biens intermédiaires, notamment, apparaissent beaucoup plus incertaines.
Dans les services marchands, l’activité confirme son amélioration sous l’effet des progrès observés sur le niveau de la demande globale. Alors que bon nombre de secteurs semblent toujours assez actifs, le transport routier tend à se stabiliser tandis que l’hôtellerie et la réparation automobile fléchissent. Les perspectives laissent envisager une poursuite de l’activité à ce niveau. »