Le nombre de chômeurs en Bretagne continue à croître en mai 2010, avec +10,5 % sur un an. Toutefois, la hausse revient sur des niveaux plus modérés, après avoir connus des évolutions supérieures à +20 % au cours de l’été 2009. Cette situation est similaire à celle que l’on observe au niveau national, où la hausse du nombre de chômeurs persiste mais est moins marquée qu’en 2009. Les évolutions restent cependant les pires que la Bretagne ait connu depuis 20 ans.
On compte en mai 2010, 171 910 chômeurs de catégories A B et C et 103 210 chômeurs de catégorie A.
Comme le montre le graphique ci-dessous, il semble que les publics les plus fragiles sur le marché, notamment les chômeurs de longue durée, les plus de 50 ans et les jeunes, voient leur situation se stabiliser. Ainsi, le nombre de chômeurs de longue durée n’augmente quasiment plus d’un mois sur l’autre depuis mars. Toutefois, sur un an, l’évolution reste très marquée avec +34,8 % en avril 2010 contre +28,8 % au niveau national. On a compté respectivement 60 400 chômeurs de longue durée (+ de 1 an), 25 590 chômeurs de - de 25 ans et 31 700 chômeurs de plus de 50 ans.
On compte en mai 2010, 171 910 chômeurs de catégories A B et C et 103 210 chômeurs de catégorie A.
Comme le montre le graphique ci-dessous, il semble que les publics les plus fragiles sur le marché, notamment les chômeurs de longue durée, les plus de 50 ans et les jeunes, voient leur situation se stabiliser. Ainsi, le nombre de chômeurs de longue durée n’augmente quasiment plus d’un mois sur l’autre depuis mars. Toutefois, sur un an, l’évolution reste très marquée avec +34,8 % en avril 2010 contre +28,8 % au niveau national. On a compté respectivement 60 400 chômeurs de longue durée (+ de 1 an), 25 590 chômeurs de - de 25 ans et 31 700 chômeurs de plus de 50 ans.
Alors que le taux de chômage en Bretagne début 2010 a encore augmenté et que l’emploi salarié ne connaît pas de encore de nette reprise la situation sur le front du chômage ne devrait pas s’améliorer rapidement.
Toutefois, il y a tout de même un point positif, les offres d’emplois connaissent des rythmes de progression très important, que ce soit au niveau du total (+22,6 % sur un an, cumul 3 mois) ou des offres durables (+27,2 %).
Dans ces conditions, le niveau du chômage pourrait encore se stabiliser désormais en Bretagne. Mais, l’enclenchement d’une tendance à la baisse semble encore lointaine.
NB : Les données dans les graphiques et les commentaires font références aux catégories ABC. Cette définition est préférée à celle de la catégorie A (à la recherche d’emploi sans activité réduite) car elle permet de mesurer les chômeurs effectivement en concurrence sur le marché du travail (personne astreinte à la recherche active d’emploi).
Toutefois, il y a tout de même un point positif, les offres d’emplois connaissent des rythmes de progression très important, que ce soit au niveau du total (+22,6 % sur un an, cumul 3 mois) ou des offres durables (+27,2 %).
Dans ces conditions, le niveau du chômage pourrait encore se stabiliser désormais en Bretagne. Mais, l’enclenchement d’une tendance à la baisse semble encore lointaine.
NB : Les données dans les graphiques et les commentaires font références aux catégories ABC. Cette définition est préférée à celle de la catégorie A (à la recherche d’emploi sans activité réduite) car elle permet de mesurer les chômeurs effectivement en concurrence sur le marché du travail (personne astreinte à la recherche active d’emploi).