Le nombre de transactions immobilières pour les logements anciens en France a marqué le pas au T2 2010. D’avril à juin 2010, le nombre de ventes de logements anciens sur l’ensemble du territoire a reculé à 171 000 unités contre 179 000 unités au T1 2010.
Par conséquent, cet indicateur vient confirmer notre sentiment que le marché de l’immobilier ancien est sorti d’une phase de forte reprise. Celle-ci a commencé en avril 2009 et s’est terminée en avril 2010. Les transactions sont remontées de moins de 120 000 unités à près de 180 000 (cf. graphique). Ce mouvement s’est d’ailleurs accompagné d’une hausse des prix très importante pour les logements anciens.
Ainsi, le nombre de transactions pour des biens immobiliers anciens ne poursuit pas sa marche vers le haut (la baisse dépasse un simple effet de volatilité). Il apparaît difficile de voir le marché revenir sur les niveaux de 2005-2007 pour le volume de transactions. En revanche, il semble que les prix soient plus favorablement orientés à court terme, la tendance restant très positive de ce côté.
Ceci renforce notre pessimisme à moyen terme concernant l’évolution du marché immobilier en France. Les nouvelles dégradations observées sur les indicateurs de pouvoir d’achat immobilier en France ou de valorisation de l’immobilier en France sont à nos yeux suffisamment importantes pour entraîner une nouvelle phase baissière sur le marché immobilier commençant fin 2010.
Voir aussi notre article sur les transactions immobilières en valeur en France.
Par conséquent, cet indicateur vient confirmer notre sentiment que le marché de l’immobilier ancien est sorti d’une phase de forte reprise. Celle-ci a commencé en avril 2009 et s’est terminée en avril 2010. Les transactions sont remontées de moins de 120 000 unités à près de 180 000 (cf. graphique). Ce mouvement s’est d’ailleurs accompagné d’une hausse des prix très importante pour les logements anciens.
Ainsi, le nombre de transactions pour des biens immobiliers anciens ne poursuit pas sa marche vers le haut (la baisse dépasse un simple effet de volatilité). Il apparaît difficile de voir le marché revenir sur les niveaux de 2005-2007 pour le volume de transactions. En revanche, il semble que les prix soient plus favorablement orientés à court terme, la tendance restant très positive de ce côté.
Ceci renforce notre pessimisme à moyen terme concernant l’évolution du marché immobilier en France. Les nouvelles dégradations observées sur les indicateurs de pouvoir d’achat immobilier en France ou de valorisation de l’immobilier en France sont à nos yeux suffisamment importantes pour entraîner une nouvelle phase baissière sur le marché immobilier commençant fin 2010.
Voir aussi notre article sur les transactions immobilières en valeur en France.