Les prix immobiliers en France dans l’ancien ont continué de flamber au T2 2010. Sur le trimestre, pour l’ensemble de la France, les prix ont progressé de 1,7 % au T2 2010 après +2,6 % au T1. Sur un an, la hausse revient à +6 %, soit un net redressement avec les variations négatives observées de fin 2008 à fin 2009 (jusqu’à -9,2 % au T2 2009, cf. graphique).
Les prix se sont bien repris depuis le creux mais restent encore 3,8 % en dessous du pic enregistré au T2 2008. Au niveau des marchés, on ne note pas de différence au niveau national entre appartements et maisons, les variations d’un trimestre sur l’autre étant très proches depuis deux ans.
Les prix se sont bien repris depuis le creux mais restent encore 3,8 % en dessous du pic enregistré au T2 2008. Au niveau des marchés, on ne note pas de différence au niveau national entre appartements et maisons, les variations d’un trimestre sur l’autre étant très proches depuis deux ans.
En revanche, au niveau des régions, la région parisienne et plus particulièrement Paris se distingue par un dynamisme plus marqué. Ainsi, pour les appartements, les prix progressent au niveau national de 1,6 %, contre +3,1 % au T2 2010 à Paris. Depuis le début 2010, un appartement parisien a vu son prix progresser de 7,1 % contre 4,3 % au niveau national.
La hausse des prix immobiliers dans l’ancien confirme la tendance observée au niveau des prix des logements neufs. Le marché immobilier français connaît une reprise d’une vigueur exceptionnelle depuis mi-2009. Le rythme de hausse est revenu quasiment à son niveau pré-crise (quoique encore en dessous des rythmes de 2003-2006).
La hausse des prix immobiliers dans l’ancien confirme la tendance observée au niveau des prix des logements neufs. Le marché immobilier français connaît une reprise d’une vigueur exceptionnelle depuis mi-2009. Le rythme de hausse est revenu quasiment à son niveau pré-crise (quoique encore en dessous des rythmes de 2003-2006).
La vitesse des progressions des prix immobiliers dépasse à nouveau celui des revenus. Notamment, le ratio entre le niveau des prix des logements anciens et le salaire moyen par tête (SMTP) repart à la hausse (cf. graphique). Il reste toutefois encore sous le pic de fin 2007.
Nous ferons le point demain sur la valorisation et le niveau de stress immobilier en France.
Nous ferons le point demain sur la valorisation et le niveau de stress immobilier en France.