Les indicateurs de transactions immobilières enregistrées en France en mars 2011 restent compatibles avec un marché immobilier en France toujours en pleine forme, avec une progression soutenue des volumes et des prix.
Pour le marché des logements anciens* le montant de l’assiette progresse à 50,9 milliards € (cumul 3 mois janvier-mars). Pour les logements neufs**, le total des inscriptions aux hypothèques progresse vivement à 13,7 milliards €. Dans les deux cas, les niveaux sont très proches des plus hauts de 2007.
Ainsi, sur l’ensemble du premier trimestre 2011, les indicateurs de transactions progressent de 24 % dans l’ancien et 27 % dans le neuf. Bien que moins impressionnantes qu’en mi-2010, quand les indicateurs progressaient de 60 % dans l’ancien et 30 % dans le neuf (effet de base très important), les marchés restent donc très actifs sur le début de l’année 2011.
Notre jugement reste inchangé. Pour l’instant, le marché immobilier français ne montre aucun signe évident d’affaiblissement ou même de ralentissement. Il va être très instructif de suivre la façon dont le marché va réagir à une remontée des taux (proche de 3,8 % désormais pour le 10 ans français), à la contrainte d’endettement et à la diminution des aides fiscales. Nous restons négatifs sur les prix à moyen terme.
* Ces données incluant aussi les terrains à bâtir exonérés de TVA (environ 5 % du total) et l'immobilier d'entreprise ancien (environ 15 % du total). Il existe un décalage entre la date d’enregistrement et la date de transaction.
** Il s'agit ici des données sur les inscriptions d'hypothèques. Selon le CGEDD, dans l’ancien, les ventes ne donnent pas lieu à hypothèque, les inscriptions d’hypothèques ne portent donc que sur le neuf. L'ensemble du marché n'est pas compté. Il existe un décalage entre la date d’enregistrement et la date de transaction.
Pour le marché des logements anciens* le montant de l’assiette progresse à 50,9 milliards € (cumul 3 mois janvier-mars). Pour les logements neufs**, le total des inscriptions aux hypothèques progresse vivement à 13,7 milliards €. Dans les deux cas, les niveaux sont très proches des plus hauts de 2007.
Ainsi, sur l’ensemble du premier trimestre 2011, les indicateurs de transactions progressent de 24 % dans l’ancien et 27 % dans le neuf. Bien que moins impressionnantes qu’en mi-2010, quand les indicateurs progressaient de 60 % dans l’ancien et 30 % dans le neuf (effet de base très important), les marchés restent donc très actifs sur le début de l’année 2011.
Notre jugement reste inchangé. Pour l’instant, le marché immobilier français ne montre aucun signe évident d’affaiblissement ou même de ralentissement. Il va être très instructif de suivre la façon dont le marché va réagir à une remontée des taux (proche de 3,8 % désormais pour le 10 ans français), à la contrainte d’endettement et à la diminution des aides fiscales. Nous restons négatifs sur les prix à moyen terme.
* Ces données incluant aussi les terrains à bâtir exonérés de TVA (environ 5 % du total) et l'immobilier d'entreprise ancien (environ 15 % du total). Il existe un décalage entre la date d’enregistrement et la date de transaction.
** Il s'agit ici des données sur les inscriptions d'hypothèques. Selon le CGEDD, dans l’ancien, les ventes ne donnent pas lieu à hypothèque, les inscriptions d’hypothèques ne portent donc que sur le neuf. L'ensemble du marché n'est pas compté. Il existe un décalage entre la date d’enregistrement et la date de transaction.
