Les transactions immobilières dans les régions françaises en mars 2011 restent toujours très bien orientées.
Pour les transactions dans l’ancien*, les hausses sont toujours conséquentes mais se modèrent progressivement (dissipation des effets de base et fin de l’envolée des transactions). Elles dépassent toujours +40 % sur un an dans le Limousin. Dans la plus part des régions, elles évoluent entre +30 % et +40 %, notamment les grandes régions (Île-de-France, PACA, Rhône-Alpes, Bretagne, Pays de la Loire, Aquitaine, Languedoc-Roussillon). Le ralentissement est illustré par le nombre de régions avec des hausses inférieures à 30 % qui passent de 5 à 7 (Corse, Picardie, Bourgogne Centre, Champagne-Ardenne, Alsace et Franche-Comté). Toutefois, il s’agit plus de nuance de décalage. Comme pour le marché de l’immobilier national , les marchés immobiliers régionaux sont tous très actifs.
Pour les transactions dans l’ancien*, les hausses sont toujours conséquentes mais se modèrent progressivement (dissipation des effets de base et fin de l’envolée des transactions). Elles dépassent toujours +40 % sur un an dans le Limousin. Dans la plus part des régions, elles évoluent entre +30 % et +40 %, notamment les grandes régions (Île-de-France, PACA, Rhône-Alpes, Bretagne, Pays de la Loire, Aquitaine, Languedoc-Roussillon). Le ralentissement est illustré par le nombre de régions avec des hausses inférieures à 30 % qui passent de 5 à 7 (Corse, Picardie, Bourgogne Centre, Champagne-Ardenne, Alsace et Franche-Comté). Toutefois, il s’agit plus de nuance de décalage. Comme pour le marché de l’immobilier national , les marchés immobiliers régionaux sont tous très actifs.
Au niveau du marché des logements neufs**, les inscriptions aux hypothèques en régions – indicateurs des transactions dans le neuf – sont plutôt en accélération. La Lorraine et la Corse (+65 % sur un an pour les 2) sont toujours loin devant. L’accélération est visible dans toutes les grandes régions sauf en Île-de-France (seulement +8 % en mars après +19 % en févier, plus faible hausse) et en région PACA (+26 % après +29 %). Au niveau des zones, on note une dynamique plus favorable dans le Nord, le Sud-Est et le Sud-Ouest.
Il s’agit d’un bon point pour l’économie réelle car l’indicateur des transactions dans le neuf est corrélé avec les mises en chantier. On a donc des perspectives favorables pour la construction dans la quasi-totalité des régions. Le Sud devrait en profiter un peu plus.
Pour plus de détails sur le marché immobilier, n’hésitez pas à consulter notre rubrique immobilier en France.
Pour parcourir d’autre articles sur les régions, n’hésitez pas à visiter notre rubrique Economie & Régions.
* Ces données incluant aussi les terrains à bâtir exonérés de TVA (environ 5 % du total) et l'immobilier d'entreprise ancien (environ 15 % du total). Variation sur les cumuls 12 mois. Il existe un décalage entre le moment de la transaction et le moment de l’enregistrement.
** Il s'agit ici des données sur les inscriptions d'hypothèques. Selon le CGEDD, dans l’ancien, les ventes ne donnent pas lieu à hypothèque, les inscriptions d’hypothèques ne portent donc que sur le neuf. Toutefois, l'ensemble du marché n'est pas compté. Variation sur les cumuls 12 mois.
Il s’agit d’un bon point pour l’économie réelle car l’indicateur des transactions dans le neuf est corrélé avec les mises en chantier. On a donc des perspectives favorables pour la construction dans la quasi-totalité des régions. Le Sud devrait en profiter un peu plus.
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* Ces données incluant aussi les terrains à bâtir exonérés de TVA (environ 5 % du total) et l'immobilier d'entreprise ancien (environ 15 % du total). Variation sur les cumuls 12 mois. Il existe un décalage entre le moment de la transaction et le moment de l’enregistrement.
** Il s'agit ici des données sur les inscriptions d'hypothèques. Selon le CGEDD, dans l’ancien, les ventes ne donnent pas lieu à hypothèque, les inscriptions d’hypothèques ne portent donc que sur le neuf. Toutefois, l'ensemble du marché n'est pas compté. Variation sur les cumuls 12 mois.