La Bourse de Paris progresse légèrement dans les premiers échanges de jeudi 12 janvier, le CAC 40 étant en hausse de 0,5 % à 3.221,7 points.
Les investisseurs sont dans l'attente de la réunion de la Banque centrale européenne (BCE) et des résultats des émissions obligataires de l'Espagne et de l'Italie. La vigueur de la demande et le niveau des taux demandés (donc de la décote sur les obligations) seront des indicateurs importants à suivre tout comme les réactions de la BCE aux derniers développements autour de la crise de la dette et du pacte budgétaire.
Coté croissance, les dernières nouvelles sont mitigées. La croissance du PIB a été négative en Allemagne sur le T4 2011 (entre -0,1 % et -0,3 %). Le moteur industriel est affectée par la récession dans la zone euro ainsi que par le coup de frein sur la croissance mondiale, notamment en Asie.
Aux Etats-Unis, la Réserve fédérale américaine a jugé que le redressement de l'économie se poursuivait mais que le rythme restait lent. Le Beige Book reste donc sur une tonalité compatible avec le maintien d'une politique monétaire très accommodante de la part de la Fed (quantitative easing et taux à 0,25 % jusqu'au moins mi-2013) et n'indique pas que les USA retrouvent le chemin d'une croissance proche du potentiel.
Ce matin, les chiffres d'inflation en France et Allemagne sont stables, sans surprise par rapport au consensus. Il s'agit d'un pic pour la hausse des prix en Europe (fin des effets de base, particulièrement à partir de février) mais la décrue sera limitée par les hausses de taxe (TVA en France).
Nouvelle plus positive, l'inflation en Chine ralentie (+4,1 % sur un an en décembre, après +5,4 % en novembre), donnant un peu plus de marges de manœuvre aux autorités chinoises pour assouplir la monétaire chinoise et contrer le ralentissement économique en cours.
Parmi les statistiques à attendre dans la journée, on aura aux USA les demandes hebdomadaires d'allocations chômage et les ventes de détail en décembre. En zone euro tombera la production industrielle pour l'ensemble de la zone.
Les investisseurs sont dans l'attente de la réunion de la Banque centrale européenne (BCE) et des résultats des émissions obligataires de l'Espagne et de l'Italie. La vigueur de la demande et le niveau des taux demandés (donc de la décote sur les obligations) seront des indicateurs importants à suivre tout comme les réactions de la BCE aux derniers développements autour de la crise de la dette et du pacte budgétaire.
Coté croissance, les dernières nouvelles sont mitigées. La croissance du PIB a été négative en Allemagne sur le T4 2011 (entre -0,1 % et -0,3 %). Le moteur industriel est affectée par la récession dans la zone euro ainsi que par le coup de frein sur la croissance mondiale, notamment en Asie.
Aux Etats-Unis, la Réserve fédérale américaine a jugé que le redressement de l'économie se poursuivait mais que le rythme restait lent. Le Beige Book reste donc sur une tonalité compatible avec le maintien d'une politique monétaire très accommodante de la part de la Fed (quantitative easing et taux à 0,25 % jusqu'au moins mi-2013) et n'indique pas que les USA retrouvent le chemin d'une croissance proche du potentiel.
Ce matin, les chiffres d'inflation en France et Allemagne sont stables, sans surprise par rapport au consensus. Il s'agit d'un pic pour la hausse des prix en Europe (fin des effets de base, particulièrement à partir de février) mais la décrue sera limitée par les hausses de taxe (TVA en France).
Nouvelle plus positive, l'inflation en Chine ralentie (+4,1 % sur un an en décembre, après +5,4 % en novembre), donnant un peu plus de marges de manœuvre aux autorités chinoises pour assouplir la monétaire chinoise et contrer le ralentissement économique en cours.
Parmi les statistiques à attendre dans la journée, on aura aux USA les demandes hebdomadaires d'allocations chômage et les ventes de détail en décembre. En zone euro tombera la production industrielle pour l'ensemble de la zone.