Le programme de financement du Trésor italien sur le premier trimestre prévoit de refinancer la dette arrivant à échéance à hauteur de 63 milliards d’euros pour la dette obligataire (dette moyen et long terme) et 49 milliards d’euros pour la dette monétaire (dette court terme). De plus, le pays va émettre pour 40 milliards d’euros de « nouvelle » dette à moyen et long terme, pour financer son déficit public pour 2012.
Ainsi, l’Italie va solliciter les marchés pour obtenir 152 milliards € d’ici à fin mars. Il s’agit du programme le plus chargé au sein de la zone euro, dépassant les émissions prévues par l’Allemagne ou par la France.
Au total, sur l’année 2012, l’Italie va devoir refinancer 190 milliards € de dettes à moyen et long terme et 124 milliards € de dette monétaire. Les mois de janvier à mars concentreront donc 36 % des émissions de remplacement.
Pour le gouvernement Monti, l’enjeu majeur n’est pas tant de ramener les finances publiques à l’équilibre que d’arriver à refinancer à un coût acceptable la dette déjà accumulée. Malgré la décrue des dernières semaines, les conditions de marchés (notamment les taux court) restent trop pénalisantes pour le pays.
Ainsi, l’Italie va solliciter les marchés pour obtenir 152 milliards € d’ici à fin mars. Il s’agit du programme le plus chargé au sein de la zone euro, dépassant les émissions prévues par l’Allemagne ou par la France.
Au total, sur l’année 2012, l’Italie va devoir refinancer 190 milliards € de dettes à moyen et long terme et 124 milliards € de dette monétaire. Les mois de janvier à mars concentreront donc 36 % des émissions de remplacement.
Pour le gouvernement Monti, l’enjeu majeur n’est pas tant de ramener les finances publiques à l’équilibre que d’arriver à refinancer à un coût acceptable la dette déjà accumulée. Malgré la décrue des dernières semaines, les conditions de marchés (notamment les taux court) restent trop pénalisantes pour le pays.