Selon les déclarations du Premier ministre chinois Wen Jiabao, les autorités chinoises sont de plus en plus nerveuses au sujet de la croissance économique.
Le ralentissement de la croissance en Chine, qui s'est accentué depuis mi-2011 ne doit pas déboucher sur un coup d'arrêt susceptible de faire passer l'économie sous son potentiel (sous 8 % de croissance). Selon W. Jiabao, le gouvernement est prêt à actionner l'arme monétaire (assouplissement des conditions d'accès au crédit et baisse de taux directeur) pour limiter le coup de frein économique.
Toutefois, la situation n'est pas encore suffisamment allarmante, notamment sur le plan de l'immobilier, pour justifier une action d'ampleur à court terme. "Il faut accorder une attention étroite à la situation économique en janvier et durant le premier trimestre", selon le Premier ministre (propos cité par l'agence Chine nouvelle repris par l'AFP).
Les dernières statistiques, notamment du commerce extérieur, monter que le ralentissement se poursuit avec un recul de la demande étrangère (exportations à la peine depuis plusieurs mois) et une demande interne qui semble aussi moins dynamique (via des importations aussi en recul).
Alors que le pays est toujours très dépendant de l'investissement, notamment en construction, le Premier ministre est cependant resté très ferme concernant la politique de contrôle de l'immobilier mise en œuvre depuis plus d'un an (moins de crédit, limitation de la spéculation). Ceci confirme que pour l'instant, les autorités centrales n'ont pas encore basculé vers une politique de relance.
Ainsi, l'expérience de l'agglomération de Wuhu visant à subventionner les achats de logements afin de mettre fin à un repli trop brutal des prix de l'immobilier a été stoppée au bout de 3 jours. Selon W. Jiabao "les contrôles gouvernementaux ne peuvent pas être relâchés".
Le ralentissement de la croissance en Chine, qui s'est accentué depuis mi-2011 ne doit pas déboucher sur un coup d'arrêt susceptible de faire passer l'économie sous son potentiel (sous 8 % de croissance). Selon W. Jiabao, le gouvernement est prêt à actionner l'arme monétaire (assouplissement des conditions d'accès au crédit et baisse de taux directeur) pour limiter le coup de frein économique.
Toutefois, la situation n'est pas encore suffisamment allarmante, notamment sur le plan de l'immobilier, pour justifier une action d'ampleur à court terme. "Il faut accorder une attention étroite à la situation économique en janvier et durant le premier trimestre", selon le Premier ministre (propos cité par l'agence Chine nouvelle repris par l'AFP).
Les dernières statistiques, notamment du commerce extérieur, monter que le ralentissement se poursuit avec un recul de la demande étrangère (exportations à la peine depuis plusieurs mois) et une demande interne qui semble aussi moins dynamique (via des importations aussi en recul).
Alors que le pays est toujours très dépendant de l'investissement, notamment en construction, le Premier ministre est cependant resté très ferme concernant la politique de contrôle de l'immobilier mise en œuvre depuis plus d'un an (moins de crédit, limitation de la spéculation). Ceci confirme que pour l'instant, les autorités centrales n'ont pas encore basculé vers une politique de relance.
Ainsi, l'expérience de l'agglomération de Wuhu visant à subventionner les achats de logements afin de mettre fin à un repli trop brutal des prix de l'immobilier a été stoppée au bout de 3 jours. Selon W. Jiabao "les contrôles gouvernementaux ne peuvent pas être relâchés".
